Année : 1999Réalisé par : Frank Darabont
Starring : Tom Hanks, David Morse, Gay Sinise
Résumé : Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s'efforcant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.
Avis : Et non, je n'ai pu y échapper ! Ce film dont tout le monde parle, que tout le monde aime. De toute façon, du moment qu'il y a Tom Hanks, tu peux être sûre que ce film restera dans ta mémoire (Seul au monde, Il faut sauver le soldat Ryan, Le Terminal, Forrest Gump...) Et encore une fois, il ne déçoit pas. Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est que la beauté de la chose n'est pas forcément dans le "Quoi?" mais plutôt dans le "Comment?" : dans la représentation, dans les mots. Après tout, on s'en fiche de deviner ce qui va se passer. On veut savoir comment ça va se dérouler, comment ça va être filmé. Et une fois que tu devines l'action, et bien tu apprécies d'autant plus le côté artistique de la scène Ainsi que toute la symbolique. Et là tu pleures. Ca coule tout seul, sans forcément t'en rendre compte. Parce que tu t'es imprégné de tout le film. Du fond et de la forme. Les cartes étaient placées dans tes mains. Il ne restait qu'à savoir comment elles allaient être jouées. Et si certains ne comprennent pas la forme fantastique du film et disent qu'ils "ne s'attendaient pas à ça" et bien tout se comprend quand à la fin s'affiche le nom de Stephen King. Encore faudrait-il le connaître...
Avis : Et non, je n'ai pu y échapper ! Ce film dont tout le monde parle, que tout le monde aime. De toute façon, du moment qu'il y a Tom Hanks, tu peux être sûre que ce film restera dans ta mémoire (Seul au monde, Il faut sauver le soldat Ryan, Le Terminal, Forrest Gump...) Et encore une fois, il ne déçoit pas. Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est que la beauté de la chose n'est pas forcément dans le "Quoi?" mais plutôt dans le "Comment?" : dans la représentation, dans les mots. Après tout, on s'en fiche de deviner ce qui va se passer. On veut savoir comment ça va se dérouler, comment ça va être filmé. Et une fois que tu devines l'action, et bien tu apprécies d'autant plus le côté artistique de la scène Ainsi que toute la symbolique. Et là tu pleures. Ca coule tout seul, sans forcément t'en rendre compte. Parce que tu t'es imprégné de tout le film. Du fond et de la forme. Les cartes étaient placées dans tes mains. Il ne restait qu'à savoir comment elles allaient être jouées. Et si certains ne comprennent pas la forme fantastique du film et disent qu'ils "ne s'attendaient pas à ça" et bien tout se comprend quand à la fin s'affiche le nom de Stephen King. Encore faudrait-il le connaître...