Résumé : Londres, au 21ème siècle... Evey Hammond ne veut rien oublier de l'homme qui lui sauva la vie et lui permit de dominer ses peurs les plus lointaines. Mais il fut un temps où elle n'aspirait qu'à l'anonymat pour échapper à une police secrète omnipotente. Comme tous ses concitoyens, trop vite soumis, elle acceptait que son pays ait perdu son âme et se soit donné en masse au tyran Sutler et à ses partisans. Une nuit, alors que deux "gardiens de l'ordre" s'apprêtaient à la violer dans une rue déserte, Evey vit surgir son libérateur. Et rien ne fut plus comme avant. Son apprentissage commença quelques semaines plus tard sous la tutelle de "V". Evey ne connaîtrait jamais son nom et son passé, ne verrait jamais son visage atrocement brûlé et défiguré, mais elle deviendrait à la fois son unique disciple, sa seule amie et le seul amour d'une vie sans amour...

Avis : Encore une fois, je le répète, on apprécis d'avantage un film quand on en a les références. J'avais vu ce film à sa sortie. Jeune et frêle, je n'avais pas compris grand chose ! Mais maintenant que je suis en Licence d'Anglais, Guy Fawkes m'est totalement connu ainsi que son Gunpowder Plot de 1605. Et c'est à présent un plaisir que de tout comprendre. Et aussi en avoir les références musicales nécéssaires. Car une musique n'est jamais choisi au hasard dans un film. Jamais.

Résumé : Pour Yves Treguier, orphelin âgé de quatorze ans, la France des années 30 est celle des maisons de correction, qui ont tout du bagne pour mineurs. A peine placé dans l'une de ces "maisons d'éducation surveillée", bâtisse austère entourée de hauts murs, Yves, roi de la fugue et rêveur éternel, n'a qu'une idée en tête : en sortir, rejoindre un port et embarquer pour New York...

Avis : Qui n'a jamais voulu voir ce qu'il se passait derrière les hauts murs des pensionnats de garçons dans les années 30. L'époque où on pouvait encore se permettre de traiter ses pensionnaires de connards et autres sobriquets. L'époque où monter le ton face à un supérieur valait des coups jusqu'à l'hémorragie ou bien de semaines de cachot. Une histoire vraie, tirée du roman autobiographique d'Auguste Le Breton, qui raconte l'horreur qu'il a vécu. Amitié, haine, violence suicide, homosexualité. Tout ça enfermé dans un même lieu, une maison d'éducation, ressemblant plutôt à une prison.