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Pulpeuse Fiction

Samedi 20 août 2011 à 10:34

http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/68463/gd/1142373350/Mars-Attacks.jpgAnnée : 1996
Réalisé par : Tim Burton
Starring : Jack Nicholson, Glenn Close, Pierce Brosnan, Tom Jones, Nathalie Portman, Danny DeVito, Sarah Jessica Parker, Pam Grier, Christina Applegate, Jack Black 


Résumé : Effervescence sur la planète Terre. Les petits bonshommes verts ont enfin décidé de nous rendre visite. Ils sont sur le point d'atterrir dans leurs rutilantes soucoupes. La fièvre des grands jours s'empare de l'Amerique dans une comédie de science-fiction nostalgique des années cinquante.

Avis : Si je devais présenter ce film sans trop parler de l'histoire, je dirais qu'il s'agit d'une série de critiques de la société humaine. Tim a fait en quelques sortes une thèse / antithèse / synthèse. Burton présente les aspects négatifs de la société, qui malgré une attaque extraterrestre imminente, ne pense qu'à sa gueule sous toutes les formes possible (sexe, argent, popularité...) Puis il nous montre qu'il y a quand même des choses positives dans la vie, comme l'amour, la musique et la solidarité, et enfin Tim nous montre son idéal, celui de retourner dans de la nature pour repartir à zéro. Pour ce faire, il a engagé un casting de choix comme vous pouvez le voir juste au dessus. Ce sont les débuts de Jack Black (qui a déjà tourné dans L'histoire sans fin 3, et autres...), Pam Grier avant Jackie Brown, Sarah Jessica Parker après Ed Wood avec Johnny Depp et un an avant le début de Sex and the City, Pierce Brosnan juste après Goldeneye, Jack Nicholson 16 ans après Shining, Nathalie Portman juste après Léon, Danny Devito juste après Space Jam et 3 ans avant Virgin Suicide... Quant à Burton, il vient de faire Ed Wood (super film hn 
>>lien<<) et il écrit en même temps James et la pêche géante. Les effets spéciaux sont super (vu que c'est Burton), pas de faux raccords. Et les extraterrestres me font toujours aussi peur que la dernière fois que je l'ai vu (j'avais 6 ans), donc c'est pour dire que le film n'a pas perdu de son effet. On retrouve Burton, fortement influencé par les films de la Hammer Production, (Frankenstein, vampires, loup garous...) il décide de mettre son emprunte dans le genre, en évoquant cette fois-ci les extraterrestres, question qui préoccupe d'avantage notre siècle.

Jeudi 18 août 2011 à 17:13

http://images.fan-de-cinema.com/affiches/animation/james_et_la_peche_geante,0.jpgAnnée : 1996
Réalisé par : Henry Selick
Starring : Paul Terry, Pete Poslethwaite, Richard Dreyfuss, David Thewlis


Résumé : A la mort de ses parents James tombe sous la coupe de ses tantes, Eponge et Piquette, deux abominables megeres qui le reduisent en esclavage. Un soir, un mysterieux personnage lui offre un sac rempli de langues de crocodile phosphorescentes aux vertus magiques.

Avis :  Une belle adaptation cinématographique. C'est fou comme le coup de griffe de Burton ne passe pas inaperçu. Nous avons là affaire au même couple Burton/Selick que pour L'Etrange Noel de Monsieur Jack. D'ailleurs si on regarde bien, les soldats squelettes au fond de l'eau ressemblent comme deux gouttes d'eau à Jack Skellington. De nombreux thèmes sont abordés comme la conquête de l'Ouest (donnée aux "rêveurs"), l'amitié, le sens du partage... Mais aussi petite critique de la société (comme toujours). Et comme personnage principal, un enfant. Un être innocent qui subit la noirceur adulte. Burton était en charge des effets visuels et de la production, ce qui donne un style qui ne nous est pas totalement méconnu :) Comme compagnons de voyages, des personnages qui d'ordinaire sont plutôt répugnants (vers de terre, araignées) tout comme ils l'avaient fait précédemment (citrouilles, vampires). Mais dans cette histoire, ce choix n'a pas été donné au réalisateur, mais bien à l'auteur. Mais je pense que c'est toute cette rêverie et cette part de justice qui a plu aux deux rêveurs que sont Burton et Selick. La traduction m'a semblé plutôt bonne puisqu'ils ont su laisser des jeux de mots assez tordant. Tout ce petit univers reste tout de même très attachant, et beaucoup de personnes aiment se complaire dans cet atmosphère, même s'ils préfèrent sûrement replonger dans leurs lignes plutôt que dans une adaptation, ce que je comprends tout à fait.



Jeudi 18 août 2011 à 11:13

http://leboxofficepourlesnuls.files.wordpress.com/2011/07/ectac-m-popper-et-ses-pingouins-film-de-mark-waters-03.jpgAnnée : 2011
Réalisé par : Mark Waters
Starring : Jim Carrey, Carla Gugino, Ophelia Lovibond


Résumé :  Enfant, Tommy Popper attendait impatiemment les occasions de parler par radio à son père, un explorateur toujours parti aux quatre coins du monde. Des années plus tard, Popper est devenu un brillant promoteur immobilier à Manhattan. Sa réussite lui a coûté son couple : divorcé d’Amanda, il ne voit plus ses enfants qu’un week-end sur deux. M. Popper mène une vie solitaire et luxueuse dans son appartement ultramoderne de Park Avenue, et il est sur le point de devenir un des associés de la prestigieuse firme qui l’emploie. Mais lorsqu’un matin, il reçoit l’ultime cadeau de son père décédé – un pingouin vivant, sa vie bascule. En cherchant à se débarrasser de l’animal, M. Popper va juste réussir à en récupérer cinq autres. Alors que les adorables bestioles transforment peu à peu son appartement en banquise, M. Popper voit sa vie déraper. Tout va y passer : le contrat de ses rêves, ses relations, sa vie. Mais grâce à six petits pingouins, M. Popper va découvrir que le bonheur peut aussi faire boule de neige…

Avis : Jim Carrey revient en force, l'indétrônable américain à l'humour qui fait mal aux zygomatiques. Dans la floppé de tout ces films à moitié animés (les Chipmunks, les Schtroumpfs...) lui aussi s'infiltre dans cette mode. Mais loin des écureuils qui parlent et des personnages totalement fictifs. Lui il a choisi les pingouins ! A par quelques rides apparentes sur le visage de Jim, il nous fait toujours bien rire :) Même si il s'est quand même un peu calmé depuis ses grands chef d'oeuvre ("Menteur Menteur", "The Mask" ) Mais enfin j'ai bien gloussé dans la salle, et quand tu es entouré de gosses qui rigolent à la moindre petite chose, c'est encore mieux. Toi tu comprends d'autres choses, alors tu ris quand personne ne rit. Mais bon, toi au moins tu as compris que c'était drôle x) Et puis son assistante de dingue est aussi super amusante :) Une sorte d'appui pour Jim qui était habitué à constituer à lui tout seul la part d'humour. Enfin bref, c'était un très bon moment et les pingouins, même s'ils ne sont pas doté de parole (ce qui est NORMAL il faudrait le rappeler à certains réal) et bien la seule gestuelle nous fait passer tout le message et c'est ça la magie du ressenti :)

Lundi 15 août 2011 à 11:46

http://cine-serie-tv.portail.free.fr/actu-cine/21-12-2009/deux-realisateurs-pour-21-jump-street-mais-pas-de-johnny-depp/deux-realisateurs-pour-21-jump-street-mais-pas-de-johnny-depp2.jpgAnnée : 1987
Réalisé par : Patrick Hasburgh, Stephen J. Cannell
Starring : Johnny Depp, Holly Robinson, Peter Deluise, Dustin Nguyen, Steven Williams, Frederic Forrest


Résumé :  De jeunes policiers forment une unité spéciale chargée d'infiltrer les lycées afin d'y faire régner la justice...

Avis : Première apparition de Johnny Depp sur grand écran. Au départ jeune discipliné qui intègre la police mais un peu trop porté sur le poing, il se fait muter. Il doit apprendre à se conduire comme un bad boy, et en a déjà le profil. Ajoutez à ça un look assez punk rock. C'est un avant gout de Cry Baby ! Et déjà à son premier rôle, il sait jouer. On retrouve toutes ses mimiques et son côté jeune adolescent innocent mais qui n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds. Je n'ai regardé que le pilote et je peux vous assurez que suis déjà accro. En plus le méchant ressemble à Mickael Jackson de l'époque BAD ahah x) Le BAD ! Datant de 1987, la belle époque des séries, on apprécie d'autant plus :D

Dimanche 14 août 2011 à 18:37

http://www.scifi-movies.com/images/data/0002027/affiche-la-planete-des-singes-les-origines-rise-of-the-planet-of-the-apes-2011-1.jpgAnnée : 2011
Réalisé par : Ruppert Wyatt
Starring : James Franco, Freida Pinto, John Lithgow


Résumé :  Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.

Avis :
Si vous voulez haïr les hommes, aller donc voir l'origine de "La Planète des singes" On remarquera que le titre original  est "The Rise of the Planet of the Apes", or "Ape" qui nous ramène à la famille des "grands singes", comprenant les gorilles, chimpanzés, etc  mais PAS de simple petits "singes". On voit ici un différent dans la langue française qui globalise tout, et qui donne des petites confusions au niveau de la traduction. Qui fait bien la différence entre "Ape" et "Monkey". Un film qui m'a beaucoup ému et révolté, puissant. Même si quelques petites "bases" hollywoodiennes restent toujours (parviendront-ils à s'en détacher un jour?) L'acteur principal est James Franco (27h). Rien de très bouleversant dans ses yeux. Il joue son rôle et pourrait s'améliorer encore. Le méchant devinez qui que c'est ? Si je vous dis Drago Malefoy ? Bingo. Tom Felton. Encore plus méchant que dans HP (Oui bon, il était pas si méchant que ça dans HP --'). Enfin bref. Le must du must c'est César. Le singe. Mais bon je vous en dis pas plus. Go and see.

 

Samedi 13 août 2011 à 23:05

http://i180.photobucket.com/albums/x54/merlot_10/HomePageArt/Films-ZZ-poster-BennyJoon.jpgAnnée : 1992
Réalisé par : Jeremiah Chechik
Starring : Johnny Depp, Mary Stuart Masterson, Aidan Quinn

Résumé :  Depuis la mort accidentelle de leurs parents, Benny s'occupe de sa soeur Joon, fragile et asociale, sujette à des accès de rage et de violence qui font fuir leur entourage. L'arrivée de Sam, jeune illettré presque muet qui a adopté les manières et le costume de Buster Keaton, va bouleverser la vie du frère et de la soeur.

Avis : Avez-vous déjà vu une femme préparer son petit déjeuner avec un masque, un tuba et une raquette de ping pong ? En jouant au poker avec les amis de son frère Benny, Joon gagne quelque chose d'étrange... Un homme. Cet homme ? Sam (Johnny Depp), dont son cousin (qui le faisait dormir sous l'évier) voulait se débarrasser, le jugeant trop "bizarre". A la différence de Joon, Sam n'est pas classé comme étant malade psychologiquement. Non, il est juste fan d'une maître mime, Buster Keaton. Johnny nous offre encore une fois un personnage doux et innocent qui peut nous rappeler son Edward aux mains d'argent qui rencontre l'amour pour la première fois. Il a encore réussi à m'attendrir seulement avec son visage d'homme resté enfant. On atterrit dans un monde de "fou", mais des fous follement attachant. (Johnny prépare des croque-monsieurs à l'aide d'un fer à repasser). A force, on fini même par se demander si nous ne sommes pas les fous, nous qui ne sommes que des machines à profit. Et l'imagination dans tout ça ? Comment font-ils pour nous émouvoir avec une scène où ils font passer les raisins secs pour des martyrs, victime de la société de consommation ? C'est ça, le grand cinéma.


Vendredi 12 août 2011 à 23:15

http://rosearcana.r.o.pic.centerblog.net/700c65cd.jpgAnnée : 2004
Réalisé par : Marc Forster
Starring : Johnny Depp, Kate Winslet, Dustin Hoffman


Résumé : Londres, début du XXe siècle. L'écrivain James M. Barrie est en quête d'un nouvel élan, dans sa vie comme dans son oeuvre : son mariage avec la comédienne Mary Ansell est dans l'impasse, et le public londonien boude sa dernière pièce. C'est en arpentant les allées de Kensington Gardens qu'il rencontre Mme Llewelyn Davies et ses quatre jeunes fils. Une complicité immédiate se noue entre l'écrivain et les enfants sous l'oeil ravi de leur mère, jeune veuve désemparée qui trouve en lui un véritable ami. Son intimité avec la famille Llewelyn Davies grandissant chaque jour davantage, James
M. Barrie retrouve son âme d'enfant auprès de ceux qui sont désormais sa plus précieuse source d'inspiration. Il tisse avec eux la trame fantastique, visionnaire et subtilement mélancolique de Peter Pan.

Avis : N'avez-vous jamais voulu savoir comment l'histoire de Peter Pan est née ? Et bien ce merveilleux film vous propose de vivre cette aventure aux côtés de beaux et doux personnages comme Kate Winslet, Johnny Depp ou encore Freddie Highmore (Charlie et le Chocolaterie, Arthur et les Minimoys) Un film que l'on ne lâche pas une seule seconde des yeux. Johnny nous montre encore une fois quel acteur il fait, et que sa vraie place est auprès de toutes ces histoires fantastiques qui résident dans l'esprit. Une vraie mine d'or. Kate est toujours aussi douce et pure. Je tiens à rappeler que cette histoire est une histoire vraie, alors ne vous privez donc pas, vous en dormirez moins bêtes :) Si vous aimez le théâtre, les enfants, les beaux acteurs sincères dans leur manière de jouer, les cerf volants ou encore ce merveilleux Peter Pan, alors ce film est pour vous. Finding Neverland. Le pays imaginaire.

Vendredi 12 août 2011 à 20:10

http://www.esseclive.com/partage/articles/cinema/affiche-melancholia.jpgAnnée : 2011
Réalisé par : Lars von Trier
Starring : Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kiefer Sutherland, Charlotte Rampling


Résumé : À l'occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine et de son beau-frère. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre...

Avis : Connaissez-vous Lars von Trier ? Un fou suédois, poète cinématographique ? Vous connaissez aussi surement les films catastrophes.. Laissez-moi deviner... Un film ou ça pète de partout pour une raison complètement dingue et qui a peut-être 1% de chance de se produire dans la vie réelle ? Et bien Lars m'a fait vivre ce que j'appelle un vrai film catastrophe. Celui qui se passe à l'intérieur de nos têtes, retranscrit sous forme de métaphore. N'avez vous jamais connu la mélancholie, ou la dépression passagère ou même constante ? Ça sort de nulle part et ça vient vous casser l'esprit. C'est exactement l'histoire de Melancholia. C'est le nom de la planète qui est sensée venir se fracasser contre la terre. Belle métaphore n'est-ce pas ? Dans les rôles principaux, Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg et Kiefer Sutherland (24h Chrono). Autant dire que ça déménage émotionnellement. Le pire dans tout ça, c'est d'arriver à se retrouver dans ces personnages. Kirsten s'est servie de sa dépression pour pouvoir reproduire ce même visage décomposé dans les songes...
Deux parties. La première pour Justine (Kirsten) et l'autre pour Claire (Charlotte). Deux phases. Deux opposés. Lars von Trier arrive à nous décrocher les tripes et à jouer du violon dessus tout en nous envoyant la planète Melancholia sur le public. Une image aussi belle que terrifiante, et si lourde de sens. Alors ceux qui quittent la salle pendant la scène d'exposition constituée de plusieurs slow motion absolument magnifiques, ceux là, qu'ils retournent voir leurs films catastrophe de gros nases. Lars nous offre du grand spectacle, encore une fois, encore plus poétique. Mais en sortant de là, ne vous attendez pas à trouver les gens beaux. Guettez plutôt la Lune.

Vendredi 12 août 2011 à 20:04

http://www.bsckids.com/wp-content/uploads/2011/06/Green-Lantern-movie-poster1.jpgAnnée : 2001
Réalisé par : Martin Campbell
Starring : Ryan Reybolds, Blake Lively, Peter Sarsgaard


Résumé : Dans un univers aussi vaste que mystérieux, une force aussi petite que puissante est en place depuis des siècles : des protecteurs de la paix et de la justice appelés Green Lantern Corps, une confrérie de guerriers qui a juré de maintenir l’ordre intergalactique, et dont chaque membre porte un anneau lui conférant des super-pouvoirs. Mais quand un ennemi du nom de Parallax menace de rompre l’équilibre entre les forces de l’univers, leur destin et celui de la Terre repose sur leur dernière recrue, le premier humain jamais choisi : Hal Jordan. Hal est un pilote d’essai talentueux et imprudent, mais les Green Lanterns ont un peu de respect pour les humains, qui n’ont jamais exploité les pouvoirs infinis de l’anneau auparavant. Hal est clairement la pièce manquante du puzzle et il possède, en plus de sa détermination et de sa volonté, une chose qu’aucun des autres membres n’a jamais eu : son humanité. Soutenu par son amour d’enfance, le pilote Carol Ferris, Hal doit rapidement maîtriser ses nouveaux pouvoirs et vaincre ses peur, pour prouver qu’il n’est pas que la clé pour vaincre Parallax… mais peut-être le plus grand Green Lantern de tous les temps.

Avis : Film sorti tout droit des DC Comics. Je ne connaissais absolument pas et l'avis semblait défavorable. Ma foi personnellement, ça m'a bien plu, du côté de l'esthétisme. La 3D m'a paru assez bien faite pour m'impressionner un minimum (surtout quand on est placé au centre de la salle). On y trouve encore une histoire cucu à l'eau de rose (c'est sensé nous faire plaisir). J'ai l'impression qu'on tourne quand même en rond et que les scénarios ne changent pas des masses. Sauver le monde, y a un méchant qui va l'en empêcher, il faut sauver la belle donzelle, happy end. Bon. Heureusement que c'est l'âme d'un Comics parce que sinon je n'en aurait trouvé grand intérêt dans l'avancement de l'histoire du cinéma.

Mardi 9 août 2011 à 15:37

http://media.melty.fr/super-8-film-j-j-abrams-steven-spielberg-image-487453-article-ajust_485.jpgAnnée : 2011
Réalisé par : J.J.Abrams
Starring : Kyle Chandler, Joel Courtney, Elle Fanning


Résumé :  Été 1979, une petite ville de l’Ohio. Alors qu'ils tournent un film en super 8, un groupe d’adolescents est témoin d'une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Ils ne tardent pas à comprendre qu'il ne s'agit pas d'un accident. Peu après, des disparitions étonnantes et des événements inexplicables se produisent en ville, et la police tente de découvrir la vérité… Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer.

Avis : Cette fois-ci, on peut dire que c'est un film attendu par la communauté geek, et la communauté en général. Un film aux multiples références dans l'univers de la science fiction. Si vous êtes un gros fana du genre, vous allez prendre un pied complet. Pour les autres, vous allez y aller, passer un bon moment, et puis rentrer chez vous (comme d'hab en fait). L'histoire se déroule à travers les yeux des enfants. Ca rend une dimension spectaculaire et beaucoup plus amusante. On  voit bien le monde adulte qui ne pense qu'à "sauver" et qui fait un peu machine, et puis on s'fait chier avec ces foutus films catastrophes ou le seul débouché c'est de sauver sa peau quit à écraser les autres (pétage de plomb ponctuel). Non là, ce sont des enfants. Et pour eux, catastrophes ça sonne pas mal, ça sonne "Chouette!" et là tu sais que tu vas t'éclater. On retrouve dans le rôle de la jeune fille, Elle Fanning, étoile montante du cinéma américain (Déjà Vu, Benjamin Button, Somwhere). Ces p'tits monstres m'ont encore plus donner envie de faire dans le film plus ou moins amateur. Apprendre à maquiller, trouver les décors etc. Ce film n'est pas du tout un mauvais film, et heureusement. Mais je pense que si on a toutes les références, c'est beaucoup mieux. Pour ma part, j'en ai eu quelques unes, mais pas toutes. Et vous pouvez pas vous imaginer à quel point ça m'a fait chier. J'ai juste eu l'impression de passer à côté du film en n'ayant pas ces références. Donc j'ai plus qu'à redoubler d'efforts et parer à ce manque... et le revoir à nouveau.


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